L’art comme élément du chaos, entre en discussion avec son protagoniste.
S’en suit une danse, un va et vient, qui se rapproche plus d’un apprivoisement que d’une maîtrise totale de la création.
Ainsi, le protagoniste n’a que le choix de la narration, semi-passive, d’une sensation qui laisse sortir de ses doigts.
A la manière d’un charlot, on provoque le déséquilibre pour que le dialogue commence puis on se rattrape, on se rattrape jusqu’à épuisement…
Fin d’une histoire.

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